1 décembre 2008
MONOLOGUE
Tu n’as rien à me dire, nous sommes là, indifférents et cela m’est bien égal que tu partes ou que tu restes. Tu peux sortir ce soir, si tu veux, je ne t’aime plus. Si tu t’en vas, je serai très contente d’être seule, je m’assoirai sur le coussin devant...