21 décembre 2009
CAVATINE
Le vent aboie dans la ramure Mon cœur breloque et pense à toi Le vent retrousse la bordure Du parterre près du lilas Le ciel au couchant s’amarante Mon cœur musèle son chagrin Le vent soudain se dégingande Et m’emporte sur le chemin Le soir a mis sa crinoline...